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Le racisme est-il normal ?

Si être raciste c’est faire le constat que les races existent, les antiracistes dénient une réalité qu’ils confirment en invoquant en permanence le métissage. Pour qu’il y ait métissage, il faut que les races existent. En faisant l’apologie du métissage ou du communautarisme, les antiracistes apportent la preuve que les races existent. Ils sont donc racistes eux-mêmes. D’où il appert que :

  1. Le racisme est normal, parce que Dieu a créé les races humaines : il est le premier raciste.
  2. Le racisme est normal, parce que Dieu a créé les langues et les races, d’où découlent les familles, les tribus, les peuples, les nations, pour disperser l’humanité sur terre ; pas pour la concentrer dans une Babel corrompue et orgueilleuse au point de le défier.
  3. Le racisme est normal, parce que même si l’on ne croit pas en Dieu, c’est quand même la Nature qui produit les différences raciales, et la Nature c’est l’Ordre Naturel ; donc si les races sont un fait de Nature, le racisme est éco-logiquement logique.
  4. Le racisme est normal, parce qu’il s’oppose au métissage qui conduit à l’involution appauvrissante de l’espèce humaine, à sa dégénérescence par la confusion des races en opposition frontale aux lois de la biodiversité et de l’Ordre Naturel. Le métissage est donc un fait contre Nature.
  5. Le racisme est normal, parce que les races correspondent à des aires spécifiques naturelles, réparties sur la planère, aujourd’hui bouleversées par l’irresponsabilité criminelle de l’homme moderne.
  6. Le racisme est normal, parce que la meilleure façon de respecter les différences, c’est de respecter la spécificité anthropologique de chaque groupe humain ; c’est une façon de se respecter les uns les autres, de respecter ce qui personnifie et distingue les humains entre eux.
  7. Le racisme est normal, parce que le mot « race » dérive du mot de langue française « racine », et se caractérise comme l’identifiant primaire de l’appartenance anthropologique ; race est également synonyme de famille (foyer) comprise dans sa continuité héréditaire et généalogique (lignée, descendance, postérité) ; ainsi l’expression « être de bonne race » c’est-à-dire de bonne famille est toujours d’actualité.
  8. Le racisme est normal, parce que le racisme est absolument antagoniste du nomadisme moderne dissolvant ; les races sont un marqueur de reconnaissance et d’identification au fondement de l’espèce humaine comme de toutes les variétés vivantes, différenciées et enracinées dans leur écosystème ; par leur multiplicité et leur diversité elles constituent l’équilibre harmonieux qui modèle le règne vivant.
  9. Le racisme est normal, parce que le meilleur moyen de vérifier la répartition de l’espèce humaine et sa diversité, c’est de constater aussi que la beauté existe dans toutes les races, même si les canons universels admettent des disparités anthropologiques selon les différentes races.
  10. Le racisme est normal, parce qu’il doit être nettement distingué de la personnalité de l’individu : l’un est héréditaire et obéit aux lois de la nature ; l’autre est civilisationnel et fondamentalement culturel, donc personnel : l’inné et l’acquis.
  11. Le racisme est normal, parce qu’il ne concerne que les peuples autochtones ; il connaît ses limites au sein d’un champ spatial déterminé, représenté en nos temps modernes par les frontières historiques de la nation. Au-delà de la frontière, la race est une autre appartenance.
  12. Note conclusive.

Respect mutuel de tous les peuples du monde, de toutes les spécificités identitaires. Respect du peuple français exigé.

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Encore une fois, qu’il soit précisé que nous distinguons le peuple des structure de l’État qui le supporte et de son idéologie. Par ailleurs nous précisons à nombre d’étrangers qui posent les pieds sur le sol français, que la France n’est pas l’Amérique et elle ne le sera jamais. Nous ne sommes pas, nous Français, des anglo-saxons même si nous avons beaucoup de points en commun. La France n’a pas la prétention de se faire passer pour la Nouvelle Jérusalem, et n’a aucun Destin Manifeste à assumer, surtout quand ce « destin » se réalise contre et au détriment des autres peuples. Son origine historique est bien définie, universellement connue.

La France est un des pays au monde qui a l’une des histoires nationales continues les plus anciennes, les plus marquantes. Si la France a quelque chose à dire à ceux qui veulent entendre, c’est uniquement par son passé et sa civilisation de long terme.

Ceux qui se définissent comme antiracistes et ont largement contribué à chasser le mot « race » du réel et de la Constitution (mais pas encore du dictionnaire), alors qu’ils sont de ceux qui utilisent jusqu’à la nausée ce mot qu’ils veulent interdire aux autres, n’ont rien compris à la réalité de la nature humaine ni aux lois de la Nature. Par leur absence de discernement, par leur irresponsabilité aveugle gravissime, ils brouillent les cartes et sont responsables des désastres sociétaux très perceptibles sur les continents du dit « Nouveau Monde » que l’on résumera sous le nom de melting-pot, devenu une véritable plaie ouverte pour ces pays.

Si, au lieu de lancer interdits et tabous à la volée pour faire taire les gens, l’on avait pris sérieusement en compte, dès le XVIIIe siècle, mais aussi par la suite, de la réalité des lois de la Nature, et cesser de diviniser celle-ci (état de nature) au point de se prosterner devant le mythe du Bon sauvage qu’on a surtout transformé en Bon esclave, principalement dans le monde anglo-saxon, on aurait peut-être pu réfléchir à établir un état relationnel autre que celui de maître à esclave réduit à sa condition d’être déshumanisé. Et ce sont ceux-là mêmes qui, aujourd’hui, esclavagistes refoulés ou culpabilisés par procuration, justifient l’antiracisme, le melting-pot ou le grand-remplacement, bref, les massifs déplacements de populations afin d’éliminer les autochtonies, d’empêcher toutes formes de réenracinement et de sauver leur bonne conscience (on asservit mieux des peuples qui n’ont plus d’identité que les peuples ayant une histoire, une civilisation et des racines généalogiques à défendre), ce sont eux, dis-je, qui se montrent les plus férocement, les plus hystériquement antiracistes, au point de cultiver un syndrome de la haine de soi psychologiquement ravageur.

Cela demanderait évidemment un développement plus conséquent, mais nous laisserons la question à l’état latent, nous contentant, pour l’instant, de la présente esquisse.